A Clôturer, merci !

Super nanny.
(Oui, j'ai osé...)





F. : - Vous êtes arrivé incroyablement vite, vu la distance et la soudaineté de l'offre.
Eisen : - Je n'avais rien pour me retenir. Et je dois dire que je ne résiste pas à un challenge ! Mais je vous en prie, tutoyez-moi ! Je n'ai pas l'habitude que mon employeur me vouvoie.
F. : - Tu n'as pas beaucoup de bagages. Tu as quoi dans ton étui à guitare? Des armes ?
E. : - Ahah ! Non, monsieur F. Ça, c'est dans l'autre valise ! ^^
F. : - Ne laisse jamais rien de dangereux trainer à sa portée.
E. : - Ne vous inquiétez pas. Je suis là pour éviter qu'il ne lui arrive quelque chose.
F. : - Ce n'est pas pour elle que je suis inquiet...





E. : - Et... ce qu'il y a dans cette pipe, et cette bouteille. Vous n'avez pas peur qu'elle tombe dessus ?
F. : - Non, ça, elle n'y touchera pas.
E. : - Vous avez besoin de ce genre de récréation à cause d'elle ?
F. : - Non. Mais tu n'es pas là pour moi. Tu es drôlement plus bavard que ta collègue...





E. : - Jinsa ? On est très différents, oui ! Elle est beaucoup plus... vous savez, la tenue de ninja, les couteaux, le masque qui fait peur. Je suis plus classique !
F. : - En parlant de tenue, ça ne va pas du tout.
E. : - Oh ? C'est trop casual, c'est ça ? C'était pour le voyage. J'ai une tenue plus formelle si...
F. : - Non, c'est trop habillé.
E. : - Trop... habillé ? Ah ! Vous êtes marrant, monsieur F. ! Bon, je vais voir la petite, si vous voulez bien. Je suis assez déphasé, avec le décalage horaire. Je préfère faire sa connaissance avant de tomber !





E. : - Hi ! Je peux entrer ?
Septaria : - Si ça vous fait repartir plus vite, oui.





S. : - Vous êtes très grand.
E. : - On me le dit souvent ! C'est parce que j'ai grandi dehors, j'avais de la place !





E. : - Toi par contre, tu as l'air de passer beaucoup de temps dans cette chambre, hum ?
S. : - Je sors parfois. J'ai déjà fugué, même.
E. : - Parce que tu n'avais pas le droit d'aller là où tu voulais ?





S. : - Je ne peux aller nulle part, vraiment. Je ne peux pas voyager comme vous, ou rencontrer qui je veux. Père vous a prévenu que j'étais "différente", ou vous pensez que je porte un déguisement ?





S. : - Est-ce que vous croyez que je peux me déplacer librement avec cette apparence ? Est-ce que c'est pour ça que je ne grandis pas ? Parce que je ne peux pas aller "dehors", là où il y a "de la place" ?





E. : - Ces jambes-là ne t'empêchent pas de marcher. Et même si tu ne grandis pas, je crois que je suis assez grand pour nous deux, si tu as besoin d'aller plus haut. Je suis là pour t'aider à réaliser tes souhaits. Mais à deux conditions.





E. : - Que tu me fasses confiance. Et que tu ne te mettes pas en danger.
S. : - Je ne me mets jamais en danger. C'est Père qui nous attire des ennuis. Et pour ce qui est de la confiance...





S. : - Si vous étiez un ennemi, vous n'auriez pas pris le risque de me tendre la main. Sinon, vous seriez stupide. Dans les deux cas, je n'ai pas grand chose à craindre.

Past sins.






Hornfels : - Je commence à comprendre pourquoi F. t'a jetée. Bordel, tu as vraiment de la compote à la place de la cervelle. Tu te rends compte que tu as failli y passer ? Ou qu'il aurait pu te livrer au doc dans un foutu paquet cadeau ? C'est ce que tu cherches ?

Andésine : - Je pensais que je pouvais avoir le dessus si je... perdais le contrôle. Vous m'avez dit que j'avais presque tué le docteur.

H. : - Le doc est un gosse comparé à Wolfram. F. est plus increvable qu'un cafard. Je le sais, j'ai essayé. Son corbeau t'a amochée ? Montre-moi.






A. : - Il n'y a plus rien. Ça tire juste à l'intérieur.
H. : - F. trouve sûrement plus marrant de te laisser dans mes pattes que de te supprimer.
A. : - Et il n'aime pas qu'on abîme ses jouets.






H. : - Il a aussi effacé les traces de la compensation que j'ai du payer pour toi. Rends-toi utile : il ne m'a pas laissé de souvenir ?
A. : - Non. Il y a cette cicatrice : "B C". Mais ça a l'air d'être ancien ?
H. : - C'est à cause d'elle qu'il m'a recruté.
A. : - Qu'est-ce que ça veut dire ?
H. : - Qu'il vaut mieux éviter de me droguer, de taper dans mes cigares et de m'obliger à prendre une raclée pour réussir à sauver ses miches.






A. : - Je suis désolée. Je pensais m'en sortir seule. Je ne voulais pas vous y mêler.
H. : - C'est ça que tu ne comprends pas. Je suis dans cette histoire jusqu'au cou. Je devais te faire disparaitre. Je suis responsable de chaque souffle que tu prends, de chaque connerie qui te passe par la tête.
A. : - Je voulais juste... nous libérer.
H. : - Qui, "nous" ? Contrairement à toi, je gère très bien mes affaires seul.
A. : - Coal. Jasper... ils ont été entrainés là-dedans à cause de moi.
H. : - Coal, c'est celui que le doc avait renvoyé à F. avec un bras en moins et quelques kilos de métal en plus ?
A. : - On était ensemble, avant que F. ...






H. : - Arrête les violons, Bambi. Ceux qui bossent pour F. l'ont rejoint de leur plein gré. Je me fous de tes raisons, de ce que tu y as gagné ou perdu. C'est peut-être à cause de toi que d'autres ont dû en baver. Mais ils savaient où ils mettaient les pieds en rencontrant F., et en acceptant ses termes. Donc ils sont aussi responsables que toi. En parlant de responsabilité, tu as jusqu'à demain pour réfléchir à la façon dont tu vas payer ton erreur d'aujourd'hui. Et je ne pratique pas les mêmes tarifs que F..