***Concours pour gagner une Mayfair***Résultat p 18!!!

La fin du Temps.

Il était une fois, dans un autre monde, proche du notre, un jeune garçon du nom d’Antoine. Il n’était ni trop vieux, ni trop jeune, juste l’âge qu’il faut pour comprendre le monde, savoir penser par soi-même et tout comprendre de la vie sans avoir à se soucier de certains soucis qu’apporte l’âge. Ce jeune homme n’avait pas de particularités intellectuelles, ni de descendances sanguines royales, ou même de dons particuliers. Non, il était juste un petit peu flemmard, fatigué de l’école comme la plupart des jeunes gens de son âge, un jeune homme qui n’avait vraiment rien de spécial et qui n’avait jamais rien eu de spécial. Aucun jour n’était particulier à ses yeux, il savait apprécier toute chose à sa juste valeur, ne se plaignait de rien et était toujours content du peu qu’il pouvait avoir. Mais depuis quelques temps, Antoine se posait de plus en plus de questions étranges, son esprit était un véritable mélanges d’idées plus farfelues les unes que les autres. Mais un jour, lors d’un cours qui l’ennuyait particulièrement, le jeune homme trouva ce qu’il souhaitait faire, dorénavant. Tout le monde avait quelque chose pour s’occuper, quelque chose à faire, une passion ou même un loisir, un but. Certains avaient des voyages de prévus, des pays et des contrées à visiter, d’autres souhaitaient peindre des tableaux et les vendre. Mais lui, non, tout cela ne l’intéressait pas. Il ne souhaitait pas se distinguer des autres, il était heureux de ce qu’il avait, mais malgré tout, il voulait mener à bien le nouveau projet qu’il avait décidé.

Antoine décida qu’il tuerait le Temps.

Non pas le temps qui passe, non, le Temps en lui-même ! Que le Temps aie une forme physique ou non, que ce soit abstrait et inexistant il s’en fichait. Lui, il voulait tuer le Temps. Le début de son projet lui paraissait flou et incertain mais au fur et à mesure, tout son projet commençait à se dessiner dans sa tête. Le jeune garçon décida même de tenir ce qu’il allait appeler le « Carnet du Temps ». Pour lui, toute cette histoire était un peu comme un voyage, vers une contrée inconnue de tous, où personne n’était encore jamais allé. Car oui, la question principale qu’il fallait se poser, c’est où se trouve le Temps ? Es ce un lieu précis, es ce palpable au moins ? L’enfant était plein d’espoir et de joie, les jours s’écoulaient, comme de l’eau coule au travers des mains et les mois suivaient ce flux. Antoine ne parla à personne de son projet, pas même à son père, l’une des personnes les plus importantes pour lui. Le jeune garçon prévoyait de lui faire découvrir son projet au travers du carnet qu’il construisait jour après jour, au travers de ses idées folles. Le garçon se réveillait même parfois en pleine nuit, il écrivait, raturais, s’arrachait les cheveux devant son carnet pour mettre ses idées abstraites sous formes de mots, mais jamais il n’arracha une seule page. Il avait pour but de vraiment tout retranscrire, tout même les erreurs, il souhaitait que tout soit retranscrit dans ce carnet.
Une saison où les feuilles tombent et virevoltent au gré des quelques brises tièdes qui peuvent s’échapper entre les branches des arbres. Rien de ce que l’être humain peut toucher et voir et pourtant, nous le savons, c’est là. Les mois s’écoulaient encore et encore, c’étaient maintenant des années qui étaient passés depuis la première fois que son idée lui était parvenue. Il avait arrêté l’école. Il avait muri, ses idées étaient claires, il avait pris quelques centimètres et maintenant il était à la taille de son père. Son père ... Décédé quelques mois auparavant. Le jeune homme, qui maintenant avait muri ne pouvait plus être qualifié de jeune. Son père péri lors d’un accident de voiture, lorsque celui-ci rentrait pour annoncer une nouvelle à son fils. Une nouvelle tout aussi terrible que l’accident. Une nouvelle qui obligeait Antoine à se dépêcher. Antoine ne pleura pas, il alla à l’enterrement de son père, qui fut enterré dans le caveau familial, avec sa mère. Personne ne faisait attention à lui, il était comme une ombre.
« Je dois me dépêcher…Elle attend. »

Le garçon était maintenant seul chez lui. Durant plusieurs jours il ne donna pas signe de vie dans le monde extérieur. Son travail sur le Temps lui mangeait tout le sien et l’empêchais de s’occuper de quoi que ce soit d’autre. La seule chose qui le sortait de son coma éveillé était des appels, des appels de sa sœur, plus jeune que lui, de quelques heures. Oui, des faux jumeaux. Ils étaient séparés et il refusait de la voir, pour le moment il savait qu’il n’était pas assez fort pour la voir et donc pour éviter toute souffrance, il emprisonna son propre cœur, fit une barrière entre lui et le monde extérieur, ne laissant paraitre aucun de ces sentiments pour elle. Lorsqu’elle raccrochait, Antoine s’effondrais sur ses notes, des perles ruisselant de ses yeux et inondant tout ce qui était sur le bureau en ébène. Les larmes embrouillaient ses yeux, sa vue, et salissait ces notes mais il n’en prêtait nullement attention. Il devait vraiment se dépêcher. Sa conversation avec sa sœur résonnait encore dans sa tête, elle tambourinait et l’empêcher même de penser. Seulement quelques bribes de leurs conversation revenait sans cesse, comme des vagues, revenant toujours sur une plage, ramenant parfois de nouvelles choses, en enlevant parfois quelques-unes, les emportant a jamais.
Mais malgré toutes ces pensées, surement plus sombres les unes que les autres, l’idée venait enfin d’apparaitre. Oui, enfin. Après plusieurs mois de solitude, de souffrance, d’enfermement, il savait comment faire pour atteindre le Temps. Le tuer sera tout autre chose, il verrait plus tard.
Antoine sorti enfin, après avoir pris une petite douche, pour sortir tout de même d’une façon présentable, mais surtout pour cacher l’odeur de renfermé et de quelque chose qui semble mort et pourris qui émanaient de lui. Il aurait bien pris du fond de teint pour cacher les énormes rides qui creusaient des sillons désastreux sous ses yeux et qui montraient insolemment les nombreuses nuits du garçon passées sans la compagnie de Morphée. Mais il n’y en avait pas, puisque aucune fille ne vivait ici.
Antoine avait besoin de quelques matériaux pour atteindre son but, il lui fallait donc aller en ville. L’Homme avait mis sa capuche, non pas pour la pluie très légère qui était présente mais plutôt pour éviter les regards. Encore une fois, le jeune homme passait dans les rues, lentement, malgré les battements de cœurs vifs qu’imposait son organe vital. Une ombre, un squelette, quelque chose de quasi-inexistant et effacé. Personne ne se retournais a son passage, personne n’osais. Antoine arriva devant un vieux magasin délabré. Il savait qu’il allait trouver ce qu’il cherchait là-dedans, il avait emmené son porte-monnaie, celui de son enfance, il espérait juste avoir assez pour ce qu’il avait besoin. Et s’il le fallait, il emploierait la manière forte.
Le vendeur ne le reconnaissais pas, au-delà de toute ces années, il avait changé, il était méconnaissable. Quand on avait connu un enfant, débordant de joie et que la personne qui se tenait devant lui était un cadavre ambulant, il était impossible de le reconnaitre. L’homme squelettique pointa du doigt dans une vitrine une montre- gousset plutôt jolie et qui semblais ne pas appartenir à cette époque. Le vendeur ronchonna quelques mots plutôt quelques chiffres, ce qui semblait désigner un prix, ne regardant même pas l’homme en face de lui, il ne pouvait pas, il ne voulait pas. Antoine sorti de sa poche un porte-monnaie enfantin, mais glauquement délabré, dont quelques pièces tintaient à l’intérieur. Il déposa tout le contenu du récipient sur le comptoir mais le vendeur fit un signe de tête qui signifiait qu’il n‘avait pas assez. Antoine eu un excès de folie. Il bondit sur le comptoir et de ses mains frêles, tremblantes, mais terriblement puissantes, il fit tourner la tête du vendeur à faire en sorte que ce dernier puisse dorénavant regarder son dos. L’homme gisait sur le sol, mort. Le garçon cassa la vitrine et pris la montre gousset, sans se soucier de quoi que ce soit, sans se soucier de ce qu’il venait de faire. Il rentra chez lui, mais cette fois-ci ces pas étaient plus rapides, il se dépêchait, il savait que bientôt tout cela allait s’arrêter mais il ne savait pas encore comment.
Une fois arrivé chez lui, le garçon admira la montre par le biais d’un regard vide mais malgré ce regard vide, des larmes arrivaient à couler, et il fut lui-même surpris de ce qui lui arrivais, mais il devait vraiment, réellement ce dépêcher.
Une sonnerie retentit.

Le garçon n’était pas paniqué, il savait que c’était elle, mais il ne voulait pas décrocher, il ne pouvait pas décrocher, il allait enfin rencontrer le Temps, le tuer, et mettre fin à tout ce qui fut de la souffrance pour lui. Il griffonna dans son carnet les dernières notes qui lui venait en tête et qu’enfin, son projet arrivait à son terme. Antoine allait tuer le Temps cette nuit, à minuit. Mais avant, il devait trafiquer la montre. Dans son esprit torturé, la montre devait fonctionner à l’ envers. C’est en créant ce paradoxe que le Temps ce montrera sous une forme palpable, et qu’il le tuera. Les coups de fils retentissaient, encore et encore. Et dans sa tête, la dernière conversation qu’il avait eu avec elle retentissait tout autant :
« - Antoine… Papa est mort, tu dois venir maintenant, je suis toute seule… On ne sait pas ce qu’il peut se passer maintenant […] C’est évolutif… Ça ne s’arrêtera pas […] Les médecins…
[…]Je manque de Temps… »

La même phrase, encore et encore. Elle pleure. C’est qu’une fois la nuit tombée qu’il avait enfin réussi à faire fonctionner la montre gousset à l’envers, il était bientôt l’heure. Son plan allait bientôt s’achever mais pour lui, il fallait faire s’entrechoquer le paradoxe au monde réel et donc rien de mieux pour cela que de se rendre au centre du village où un clocher y trône depuis des centenaires mais qui fonctionnait encore. L’homme pris un sac où il y avait fourré une corde, le carnet, de quoi écrire, et quelques outils. Dans sa poche demeurait la montre dont les aiguilles tournaient à l’envers.
Il se rendit au village, personne n’était là, pas d’âme qui vive. La place était belle, dans cette pénombre, les ombres dansaient aux faibles lumières des lampadaires et des quelques décorations lumineuses qui servaient à attirer l’œil des voyageur nocturnes devant des boutiques fermées. Un vieil arbre. Un arbre aussi vieux que le village, aussi vieux que le clocher, et pour Antoine, aussi vieux que le monde. Le garçon mit tout en place pour que tout soit parfait, comme tout était décrit dans son carnet. Il posa ce dernier juste devant les portes du clocher qui servait aussi d’église et dont les lourdes aiguilles indiquaient qu’il était 23h54. Son cœur palpitait, la pression sanguine l’excitait et il en riait même. Après plus de 15 ans il allait enfin tuer le Temps. Son rire résonnait, et déchirais le silence, mais ne craignait pas réveiller le voisinage, sa voix était presque déraillée, inexistante, mais horrible a entendre. La voix d’un mort.

Le son de l’église retenti, 12 coups ce fit entendre, son rire, la montre gousset était exactement à l’heure avec l’horloge, puis plus rien. Le silence était revenu.
Le lendemain, le village était réuni autour de l’arbre, des cris horrifiés déchiraient les commérages des alentours. Tous réagissaient différemment. La police aussi était là.
Antoine était pendu à l’arbre, souriant, il avait sauté de l’arbre pour se pendre et son corps, son visage, dont le sourire était tordu, regardaient l’horloge, la montre gousset a la main, la chaine enroulée autour du poignet pour ne pas qu’elle tombe, les aiguilles tournant toujours dans le sens inverse. Il avait réussi, il avait tué le Temps.

Il était une fois une mayfair !

Il était une fois sur une planète bien éloigner de la terre, dans un magnifique royaume, une jolie petite fille vit le jour à l’aurore d’un vendredi treize de juin. On l’appela Aurora, elle était d’une beauté incroyable, avec ses pommettes roses, ses yeux d’un bleu ciel magnifique et ses cheveux rose pâle ondulés, qui scintillaient à la lumière du soleil.On nommait les filles de se royaumes les mayfair. Mais la petite était la plus belle de toutes, sa peau rosé et délicatement parfumé provoquait de grande convoitise.

Il y avait une prophétie qui annonçait qu’une beauté enchanteresse sèmerait le chaos sur le royaume, personne ne pensait alors qu’Aurora serait cette dernière.

La petite grandit et devint une jeune femme courtisé et admirer, ses pouvoirs de guérison grandissait avec elle. Ses parents, le roi et la reine, ne pouvait ignorer qu’elle cachait un secret mais il l’aimait tellement que la contrarié n’était pas envisageable. Aurora adorait ses parents à tel point qu’elle ne s’éloignait jamais du palais, de peur de ne pas les retrouver.
Mais un bel après-midi , peu avant son dix-huitième anniversaire ,Aurora fit la rencontre de Minos , un jeune garçon d’une vingtaine d’années, brun, aux yeux bleu foncer, et d’une grande stature . Son sourire charmeur fit chavirer le cœur de la princesse en un instant. Elle ne put détacher son regard de lui et au moment où il s’adressa à elle, Aurora s'évanoui !

On la conduisit dans sa chambre sans perdre de temps. Le roi inquiet de l’arrivée de Minos, proposa a celui-ci de diner en leur compagnie.
Le silence régnait à la table royale , le roi prit donc la parole très intimider :
« -Qu’est-ce qui vous a amené par ici cher Minos ? Balbutia le roi.
-Vous en serez le deuxième informé ! Répliqua le jeune homme avec une voix douce et charmante.
-D’où vous venez, si cela n’est pas indiscret ? Interrogea –t-il.
-Du royaume voisin, celui qui se trouve derrière la forêt interdite !
-Les……Les …..Les lycans, vous ……Vous êtes un lycan ? Trembla le roi.
-C’est cela, le prince Minos du royaume des lycanthropes, enchanté ! Souri-t-il nerveusement.
-Je vous réitère ma question, que venez-vous faire chez nous ?
-Je viens rencontrez votre fille monseigneur ! Lui répondit-il agacer.
-Bien, bien je ne vous en empêcherais point ! S’exclama le roi Andromède ! »

La conversation s’arrêta, quand Aurora entra dans la pièce, elle s’était remise de ses émotions et avec une certaine assurance elle proposa à Minos d’aller se promener dans le parc du palais.
Ils parlèrent jusqu’au petit matin, et allèrent se mettre au lit. La princesse entonna un joli air de musique douce et romantique, tout en dansant comme une enfant dans son immense chambre !
Le soir même ils se retrouvèrent à nouveau dans le parc ,cela dura trois jour. Au bout du troisièmes jours, le prince demanda à s’entretenir avec le roi et la reine ! Ce dernier se demandait avec inquiétude ce que pouvait bien lui vouloir le prince. Le choc fut rude quand Minos demanda la main d’Aurora. Andromède savait qu’il ne pouvait refuser de peur de représailles, il acquiesça un peu triste.

Aurora souriait a tous va et prit son père dans ses bras avec tendresse comme un signe de remerciement.
Les préparatifs commencèrent tels un ballet, les domestiques se pressait car le mariage aurait lieu dans trois jours seulement, on envoya les invitations dans les royaumes voisins !

Les sirènes répondirent rapidement ainsi que les fées et les leprechauns, tous envoyèrent un cadeau pour la princesse. Les sirènes proposèrent de coiffer la princesse, les fées confectionnèrent la plus belle des robes , cousu avec un fin fil d’argent et de la soie blanche , les leprechauns érigèrent une immense statue d’or a l’effigie des futurs époux avec quelques inscription devant porter chance à ses derniers .
Puis vint le jour du mariage, le jardin du palais était couvert de fleur blanche, et de ruban de satin argenté, quelques roses rouges était fixer sur les chaises et les trônes, et un splendide kiosque dominait l’espace de réceptions !

La marié reçu la visite de sa futur belle-mère dans sa chambre ou elle se préparait, c’était une belle femme plutôt jeune, elle tendit a sa belle-fille un peigne orné de rubis et de jolie boucle d’oreille orné elles aussi de petit rubis !

Les sirènes finirent de coiffer la princesse, elles firent une natte immense et ses cheveux poussait au fur et à mesure que les sirènes les tressait, elles firent ensuite un chignon border de petites nattes toutes fines, elles incrustèrent le peigne et quelques roses rouges dans le chignon. La princesse pleura de joie tellement sa coiffure était époustouflante !
Elle se fit maquillé et habiller par les fées qui ne touchèrent pas à ses lèvres déjà si belle, inutile de les peindre elles sont déjà sublime, la robe était d’une telle splendeur qu’elle irradiait de lumière, le fil d’argent reflétait les rayons de lunes qui pointait leur lueur.

23h sonna a l’horloge de la chapelle, la musique commença et Minos s’installa sous le kiosque, son frère pour témoin, Aurora sortit du palais sous le clair de lune, sa beauté aveugla l’assemblé, le bassin des sirènes refléta son aura si brillante ! Tout était irréaliste, Aurora souri a son futur époux et d’un regard elle fixa ses parents, tous deux en larmes, si ému. Les fées jetèrent de la poudre d’or pour accompagner la démarche gracieuse de la princesse !

Le prêtre commença la cérémonie, les jeunes mariés écoutait avec attention tout en se regardant amoureusement, les sirènes se mirent à chanter des mélodies douce et féérique, le moment de dire oui approcha.
Le prêtre se tourna vers Minos et lui posa LA question, il répondit « oui » d’une voix chaleureuse et enjouer. Vint le tour de Aurora, c’est à ce moment-là que tout bascula !

Quand Aurora prononça le fameux oui et que le prêtre les déclara mari et femme, une chose affreuse se passa ! Aurora se mit à léviter debout, les cheveux virevoltant en prenant une couleur sang, ses yeux devinrent noir entièrement et sa voix devint effrayante !

« Je suis la divine, vous allez tous mourir, personne ne peut m’enchainer »

Elle commença par attaquer ses parents, un regard suffit à les foudroyer, puis ce fut au tour de ses beaux-parents, de ses amies, les gens courait et volait de partout pour s’enfuir, les sirènes reprirent forme humaines pour fuirent au plus vite à leur tour, Aurora se déchainait !
Seul son époux ne bougea pas, il restait là debout sur le kiosque à regarder émerveiller par sa femme .Le chaos était bien là, rien ne lui échappait !
Après 2h de carnage, Aurora comme porter par une émotion vive se calma, elle redevint la fille calme et poser quelle était son apparence reprit celle qu’elle avait avant. Il lui fallut quelques minutes avant de réaliser la tragédie qui venait de terminer. Elle tomba alors dans un profond sommeil, son mari l’emporta dans la forêt interdite à l’abri de possible vengeance.

Il construit un abri, Aurora ne se réveilla toujours pas, Minos commença à s’inquiéter, il prit son pouls et se mit à hurler de douleur sa femme était morte, blotti contre ses bras, il pleura toutes les larmes de son corps.
Il enterra sa promise près de l’abri et tous les soirs, on peut l’entendre hurler sa douleur si on tend son oreille !
Plus personne ne traversa la forêt interdite car il est dit que ceux qui franchissent la frontière de celle-ci n’en ressortent jamais. Il paraitrait que pour venger sa femme qui avait été ensorceler pour ne pas l’épouser, il tue tous ceux qui viennent troubler son repos !

Puis vint un jour une belle princesse, la cousine d’Aurora…………..

FIN !!!