~Asylum~ Cours sur les ruines d'un monde infini p.43

Elles sont très jolies tes photos empreints de poésie et avec a la fois quelque chose de dérangeant. Superbes !

Je viens de lire ton texte et je l'ai trouvé fabuleux, j'ai vraiment envie d'en apprendre plus sur tes personnages. Ton style est très agréable à lire, c'est empreint de folie, mais douce...en bref, j'aime!

Il est fantastique.

Je crois que c'est la BJD qui m'attire le plus, il est vraiment... juste comme j'aime.

Chapeau bas Mamzelle Nylh...

(j'espère qu'il restera comme ça lui :p )

Malsain et génial à souhait...

Ca me rappelle un titre de Metallica, Welcome Home (Sanitarium)

Merci. J'espere le garder ainsi longtemps, je m'attache à mon petit fou. Il n'a pas de nom mais ça ne me derange pas vraiment. Pour le plaisir, quelques pages de plus, parce que j'aime ecrire autant que j'aime mes bjds.
[...] Debut p.9
Detanith 11th, 754

Les murs moisissent de plus en plus ai j’ai froid. Je me demande comment c’était avant. J’aime bien mon asile mais il s’effrite dans mes mains. Alice me dit qu’il n’y a pas d’avant et qu’il n’y aura pas d’après. C’est juste ici et maintenant. J’ai envie de dormir. Papa m’a apporté un cadeau. Un petit oiseau. Ca fait bizarre de voir papa sans corde autour du cou, j’ai cru ne pas le reconnaître. L’oiseau chante comme Alice. Je l’ai tué. Il est cloué sur le mur du dortoir, les ailes grandes écartées. Quand je le regarde j’ai l’impression qu’il vole.

Detanith 14 th, 754

Le Minotaure est assis sur mon lit. Il souffle et semble nerveux. Il est tout noir et sa grosse tête de taureau dodeline un peu. Il a de beaux yeux rouges. Les docteurs sont fâchés après moi. Ils veulent me passer aux électrochocs et me trépaner comme maman. Mais moi je ne veux pas. Je ne suis pas malade. Et puis Alice ne m’aime pas quand je n’ai plus de cheveux. La mère suprême marche dans les couloirs d’un pas de conquérant. Derrière elle des démentes. Elle va les vendre aux soldats. Ils les violeront et les enterreront avec les autres. Anna s’est fait enterré cinq fois. Je crois qu’elle aime ça. Anna c’est la voisine de lit de maman. Elle a une grosse poitrine qui tombe et son cou a des traces toutes noires et boursouflées. Elle bave aussi. Je n’aime pas les gens qui bavent, c’est sale. Alice a un cadeau pour moi. Ca s’appelle des lunettes de soleil qu’elle dit. Elle me les met sur le nez et je vois tout noir. Elle dit que je pourrais aller dehors avec elle hier. Je n’aime pas le soleil mais j’aime Alice. J’irais dehors avec elle. A l’ombre du Minotaure je ne crains rien.

Detanith 15 th, 754

Grande nouvelle. La cuisinière s’est noyée dans le chaudron de soupe de pois. Aujourd’hui était sera le dernier jour de soupe. J’ai envie de myrtilles. Alice m’a promis d’en trouver dehors. Mais comment trouver ce qui n’existe pas. Alice cours sur ses mains en riant. Elle dit que je suis idiot, que si j’ai envie de myrtilles c’est parce que les myrtilles existent.

Albarnith 2 nd, 754

Encore puni. Le cachot était froid et sombre mais j’ai l’habitude. C’est ma petite sœur qui m’a manqué. Je ne sais plus ce que j’ai fait mais je me suis retrouvé au cachot pour des semaines. J’ai mangé des rats. J’aime bien le cachot, je suis tranquille et je mange bien. Quand je suis remonté, quelque chose avait changé. Je ne sais pas quoi, mon asile semble se mourir. Il respire péniblement et les murs vibrent de façon saccadée. Il y a des nouveaux venus. Je ne sais pas si je dois les aimer ou pas. C’est moi le maître de l’asile. Je suis étais le premier.

Albarnith 3 rd, 754

Maman m’a donné un nom aujourd’hui. Elle m’a appelé petite sangsue putride et elle m’a enlacée. J’ai deux cotes cassées et ma nuque me fait mal. Mais maman m’a parlé. Petite sangsue n’est pas un nom que j’aime, il n’est pas aussi joli que le nom d’Alice. Quand je l’appelle j’ai un soleil sur les lèvres. J’ai la douceur de ma petite sœur sur la joue. Alice m’a dit qu’elle me donnerait un nom, un nom tellement beau que plus jamais il ne fera nuit. Je l’aime.

Albarnith 4 th, 754

J’ai vu les soldats violer les démentes autour d’un feu de joie. Plus je les regarde et plus je vois qu’ils sont comme nous. Alban et Orla me dise qu’ils sont pareil mais en moins déformés. Alban et Orla se sont des jumeaux. Ils seront arrivé il y a 785 jours de pluie de là. Orla ressemble à Alice mais elle n’a pas ses yeux. En fait elle n’a pas d’yeux du tout, juste deux trous remplis de sang. Alban dit que c’est Orla qui se les ai arraché. Orla dit que c’est Alban. Ils se disputent tout le temps. Alban n’est pas un déformé, c’est juste un dément. Comme Papa et Maman. Il a le droit a une camisole de force lui aussi mais moins jolie que la mienne. La mienne c’est sœur Olga qui l’a faite. Tiens, sœur Olga, ça fait longtemps que je ne l’ai pas vu. J’espère qu’elle est toujours ici.



Albarnith 7 th, 754

Sœur Olga me secoue et je tombe du lit. Il fait jour mais j’ai sommeil. Elle est avec la novice au bras arraché. La novice me regarde avec dégoût et peur. Elle ne s’est pas regardée. Elle n’est plus aussi jolie qu’avant. Elle s’est laissée pourrir. Bientôt elle sera comme les vieilles du dernier étage.
Le dernier étage je n’y vais jamais. C’est l’antre des vieilles. Il n’y a que le Minotaure qui ose aller là bas. Il les aime bien, il les aime beaucoup même, surtout quand elle gesticulent encore dans sa gorge avant qu’il ne broie leur crane avec ses dents. J’aime bien le regarder manger, parfois il me donne ses restes que je partage avec Alice. Ma jolie Alice, le visage barbouillé de sang elle ressemble à une rose dans un champs de blé. Enfin, c’est ce que Papa dira. Moi je n’ai jamais vu de rose ou de blé, je ne vois qu’Alice, ma douce Alice.

Albarnith 8 th, 754

Alban a voulu lire mon cahier. Je lui ai arraché la tête, comme à Demian. Mais je ne la lui ai pas cachée. Même si il fait mal, j’aime bien Alban. Il dit qu’il s’en fiche, qu’il peut jouer au ballon avec sa tête à présent. La mère suprême m’a encore puni. Elle dit que je ne doit pas arracher les têtes de mes petit camarades. Mais Alban c’est pas un petit camarade, il est plus grand que moi d’une tête. Du moins il l’était encore ce matin. Alice a des chaussures neuves. Des jolies chaussures toutes blanches toutes légères. Des chaussures de danse. Orla et elle dansent un ballet grotesque, Orla tiens les pieds de ma petite sœur comme si ils étaient ses mains et elles dansent une valse macabre.

Albarnith 10 th, 754

Il me boude depuis que je lui ai fait perdre la tête. Moi aussi je le boude. C’est sa faute après tout. C’est le retour de la soupe de pois. Ils ont déterré la cuisinière faute de lui trouver un remplaçant. Orla me dit qu’elle aime bien la soupe de pois, ça lui rappelle le brouet qu’elle mangeait dehors. Moi je n’ai connu que la soupe de pois et ça me sort par les trous de nez. Alice a cueillit de l’herbe et me la donne à manger. C’est meilleur que les pois mais je préfère la viande. Je crois que je vais aller démembrer un docteur…. Si je ne me fait pas prendre on aura autre chose que cette soupe à dîner. Sinon je m’arrangerais pour voler son cœur, c’est la partie qu’Alice préfère. Elle dit qu’elle peut sentir les anciens amours de la personne. Moi on dernier amour c’est Alice. Alice pour l’éternité.

Albarnith 15 th, 754

J’avais oublié la guerre dehors mais la guerre ne m’a pas oublié. Il pleut du feu ce soir. Une aile de l’asile a été touché. C’est là où on mettait les démembrés encore bougeant. Toutes cette nourriture gâchée. C’est dommage. J’ai tout le temps faim. Maman dit que c’est parce que le papillon grandit. Je ne veux pas grandir.

Albarnith 16 th, 754

Avec Alban Orla et Alice on a été voir le bain des nonnes. Il fallait bien rester caché parce que si elles nous trouvaient elles nous écorchaient vifs. J’aime bien voir les religieuses nues. Elles sont différentes que quand elles ont leur robes noires. Le bain c’est dans le patio. Elles mettent de grandes bassines dehors et récoltent l’eau des gouttières. Il pleut tellement ici qu’elles n’ont pas de mal à remplir les bacs. Alice et moi on s’est caché derrière une vieille statue, Orla et Alban de l’autre coté, sous le banc. Les nonnes ont les seins blancs et les hanches larges. Nues on dirait des statues de marbres zébrés de veines bleues. Je me suis senti tout chaud en les voyant ainsi et j’ai caressé le ventre d’Alice. Elle en a ronronné de plaisir. Je l’aime ma petite sœur. La mère suprême est toute cousue de partout, elle a un beau corps sinon, mais un corps comme les poupées de chiffon et comme Orson. Elle est chauve sous sa collerette. Je suis sur qu’elle plait au Minotaure. Sœur Félicie nous aperçoit mais ne dit rien. Elle met son doigt sur ses dents et jette un draps sur la statue pour nous cacher. Elle est gentille aussi. Comme sœur Olga elle a des trous sur le visage. Un chien l’a mangé. Son œil pends sur sa joue et ses cheveux sont emmêlés. J’aime bien les nonnes déformées, plus que les nonnes démentes. Celles là elles ne sont pas drôles. Toutes veulent se croire encore belles mais la plus belles c’est ma Alice. Alban me fait un geste de la main et montre Sœur Capucine. Ses seins ont été coupés, elle a des cicatrices au sur le torse. Mais le plus drôle c’est entre ses jambes fines. Sœur capucine était un homme. C’est une vilaine menteur alors. Elle est une déformée comme nous, pas une démente. Ce soir j’irais la tuer.

Albarnith 24 th, 754

Alice dit qu’elle a vu un ange passé. Je crois qu’elle ment. Il n’y a aucun ange à part elle en ces lieux. L’homme est revenu. Il a aspergé les murs d’eau noire en chantant des cantiques. Il m’ennuie. Les nonnes l’ignore mais moi je le voit. Des fœtus pleuvent du plafond de la salle d’avortement, c’est joli mais ça éclabousse. Sœur Olga m’a grondé, j’ai sali ma camisole. Je n’aime pas quand elle me gronde. Je me sent tellement petit quand elle fait ça. Elle a une façon de me faire sentir mal. Elle ne crie pas mais me regarde et secoue la tête, triste. Sœur Olga ne doit pas être triste ! elle n’a pas le droit ! Alors je lui demande pardon et elle me prends dans ses bras. Sœur Olga c’est une deuxième maman.

Albarnith 29 th, 754

Un soldat est arrivé aux portes de l’asile. Il a un trou tout rond dans le torse. On voit le jour à travers lui. Les sœurs sont en ébullition. Branle bas de combat. La mère suprême est allée parlementer avec lui. J’ai trouvé un vieux fauteuil roulant et j’ai mis Orla dedans. Depuis quelques jours elle commence à pourrir, elle ne bouge plus et ne parle plus. Alban dit qu’elle fait ça parfois. Ils se sont disputés alors Orla meurt quand elle a fini de mourir elle redevient elle même. Mais quand même ! Pas de pourrissants dans mon dortoir ! On s’amuse à la promener dans les couloirs avec Alice.

Moplith 1 st, 754

Ma petite araignée devient serpent. Elle a réussi a se déplier plus longtemps. Son dos est tout mou et il grouille de petit vers. Elle rampe au sol. Elle va vite, très vite même. Quand on fait la course elle dit que je triche et que je la laisse gagner. Mais non, elle est rapide ma jolie couleuvre. Papa s’ennuie pendu à son plafond. Il se dispute avec maman. Elle saute et crie pour l’atteindre et le griffer mais il est trop haut. Maman est minuscule. Sa chemise de nuit à fleurs est trop grande pour elle, elle flotte comme des ailes d’oiseau. Maman, serais-tu en train de devenir un ange ?

Moplith 3 rd, 754

Bon anniversaire petite Alice, cela fait des milliers de jours que tu vis ici mais tu n’a rien perdu de ta beauté. J’ai trouvé une jolie robe dans le grenier et une belle poupée qui te ressemble. Orla dessine compulsivement. Elle ne parle toujours pas mais au moins elle a arrêté de pourrir. J’aime les dessins d’Orla. Elle dessine le dehors dedans, sur les murs du dortoir et je peux enfin voir les arbres et les rivières sans me brûler les yeux. Elle s’énerve souvent parce qu’elle manque de couleurs. Le Minotaure lui a amené sœur Capucine. Enfin juste le torse, le reste est dans la soupe. Avec un torse on peut avoir des magnifiques couleurs, surtout du rouge mais aussi du noir et du vert. Il n’y a que le bleu qui manque. L’homme n’a pas de bleu dans les veines, même pas le roi. Il n’y a que Alice qui ai le droit au bleu, au bleu du ciel. Bon anniversaire mon ange aux ailes cassées. Je demanderais à Orla de te peindre quand j’aurais trouvé le bleu de tes yeux.

Moplith 5 th, 754

Rien ne va … les cris font saigné mes yeux. Qui crie ? QUI ? !

Moplith 9 th, 754

Alice m’a donné un nom. J’ai un soleil dans le cœur, un nom à moi, un nom secret que seul elle est moi connaissons. Et le Minotaure aussi, forcement. La bouche d’Alice forme un cœur quand elle ne chuchote et j’ai envie de la croquer. Sœur Félicie nous a fait une surprise. Ella a trouvé des fruits en allant aux réapprovisionnement. Elle est comme sœur Olga, douce et belle dans son cœur. Alice et moi nous mangeons sur le toit. Le ciel est couvert et le vent joue avec les cheveux de ma belle araignée. Elle se barbouille les joues de framboises et fait des mines en me regardant. Oui tu es belle, tu es la plus belle. Du toit on peut voir toute la région. L’asile est un vaisseau voguant dans le boue noire des champs de bataille. Le vent le pousse à aller toujours plus loin. Mais il en bouge pas. Les collines sont noires et les arbres aussi. Je vois les camps qui encerclent l’asile. Il y en a deux, cote à cote, ou alors il n’est qu’un ? Je ne sais pas. Si je rencontre un soldat je lui demanderais pourquoi il fait la guerre. En bas il y a le village et sa cathédrale. Il a l’air désert et le clocher est cassé. Je me sens proche du ciel. J’ai goûté ma première pêche. Le jus coule sur mon menton. Est ce le nom qu’elle m’a donné ou le jus de la pêche ? Je sens mon cœur bondir avec ce petit soleil.
Moplith 10 th, 754

C’était trop beau pour durer ! Je n’ai pas le droit au bonheur. Le papillon plante ses pattes aiguisées dans ma chair et pompe mon bonheur. Il faut que je tue et que je fasse mal, alors il sera apaisé. Si je ne le fait pas il risque de s’en prendre à Alice. Je vais trouver une vieille et la charcuter. Je prendrait ses dents et en ferait un collier pour ma douce.

Moplith 12 th, 754

Les soldats sont revenus, mais avec l’homme, ou alors l’homme est revenu avec les soldats. Il est là, sur le perron, indifférent aux combats. Sœur Olga a encore perdu la tête et la baïonnette a encore frappé le cœur de la mère suprême. Le temps est in cercle infini. Mais lui ne fait pas parti du cercle. Il m’observe. Pourquoi ne voit-il que moi. Il me fait peur, je veux que ça s’arrête, je veux qu’il arrête, je veux qu’il meurt. Qu’il meurt, qu’il meurt, qu’il meurt, qu’il meurt […]

Moplith 14 th, 754

J’ai mal partout, l’homme a tué quelque chose en moi. J’ai peur. Le corps d’Alice semble froid et sans vie. Mais c’est impossible, Alice est mon ange, les anges ne s’arrêtent jamais de vivre.

Moplith 15 th, 754

Alice a découvert un passage secret que je ne connaissais pas. Je suis tout excité, j’en oublie la menace de l’homme. Découvrir du nouveau à l’asile c’est exaltant. Le couloir ressemble aux autres, il est sale et délabré. La peinture s’écaille et l’eau suinte par endroit. Il y a des tableaux au mur, des portraits de gens. Mais je n’arrive pas à voir leur visages. Alice me dit qu’ils sont tous très beaux, ni déments, ni déformés. Je frissonne. L’homme n’est ni dément ni déformé non plus. Au bout du couloir une porte. Elle est barrée de planches en bois et de clous. Alice et moi ne pouvons l’ouvrir. Je suis frustré. Le Minotaure va passer ma colère sur les soldats. A défaut de l’homme ça me soulage.

Moplith 16 th, 754

La porte reste fermée. Alban me dit de l’oublier, c’est pas important. Pourtant si, cette porte doit s’ouvrir. toute les portes s’ouvrent. Orla a trouvé du bleu. Elle a commencé à peindre Alice. Je suis seul.

Moplith 17 th, 754

La porte, la porte la porte … Elle m’obsède et Alice qui se fait tiré le portrait par une goule. Je suis énervé. J’ai tout cassé dans la salle d’accouchement. Les bébé sur le sol, la table d’opération, tout. La mère suprême m’a encore puni, les médecins sont très fâchés. Je vais y avoir droit ….. j’ai peur rien que d’y penser.

Tu as une bonne imagination et l'écriture genre journal me plait assez. Bonne continuité dans ton récit ^^

J'ai encore été complètement scotchée contre mon écran...

Tu arrives vraiment à trouver les mots qui tapent fort...

J'ai pas réussi à arrêter de lire avant la fin~
C'est vraiment prenant itout itout, on se voit dans l'asile avec lui.
Chapeau franchement

Salut je suis nouvelle sur le forum, donc je viens juste de découvrir tes écrits ^^
Je trouve que ce journal est... prenant. J'aime beaucoup, on a l'impression de voir la scène comme si on était placé juste à côté de lui.
C'est impessionnant ^^

Chapeau ! ^^

très intéressant, j'aime beaucoup l'atmosphère. Vraiment. la suite !!!

j'ai lu
avec ça dans les oreilles

merci nylh, merci fléau

C'est à glacer le sang! O_O;;

Franchement, c'est super bien, écrit, captivant, ton unoa est super mignon, mais j'ai eu franchement peur, j'ai du mal à respirer maintenant... Attends, y a du bruit dehors, je vais voir...

Le texte est vraiment vraiment bon, j'y suis scotchée. Et les photos le complètent admirablement bien. Encooore!

Je ne dirai pas mieux que la dernière fois, j'aime toujours autant ^o^

Ca me rapelle un peu les écrits qu'on trouve dans l'hopital de Silent Hill

J'espère que tu vas nous mettre la suite ! Je veux connaitre le nom qu'Alice lui a donné ^^

Pour ça faudra attendre un peu ^^ point trop n'en faut, j'attends d'attendre la vingtieme page avant d'en donner d'autre (suis page 11 là ). Pour les references à silent hill franchement je ne connais pas du tout, j'en ai un peu parlé avec Nade et j'ai un peu cherché des images mais j'ai pas trouvé grand chose (je ne joue que sur PC donc pour y jouer c'est rapé )
Amaeta j'adore la musique que tu as mis en lien mais c'est pas du tout ça qui me met dans l'ambiance de mon hopital. C'est un vieux CD de Disturbed et mes musiques de Myst ^^

En attendant j'ai fait des photos du nouveau makeup prvisoire de mon B-El en attendant les préorders, je voudrais une faceplate Orgasmo pour ce makeup là. Mais bon, le b-el fait l'affaire en attendant ^^;

J'ai merdouché par contre, il faut que je le repasse au MSC pour viser le gloss du papillon noir.