~Asylum~ Cours sur les ruines d'un monde infini p.43

Ooooh Alice, on te voit enfin !!

Elle est magnifique, mystérieuse et dérangeante mais tellement mignonne...

Merci, avec un corps à elle et une perruque moins grande elle serait plus jolie XD Mais pour le moment j'hesite encore à incarner la petite araignée, c'est pour ça que la dione est toujours dans mon annonce de vente, je vais voir, peut être vais-je lui prendre un corps et le trafiquer un peu pour la contortionner, je dois faire mes comptes avant pour voir si je peux lui prendre un corps ^^; . J'aime beaucoup le personnage de l'araignée, elle est douce amère, moins torturée que le petit fou... peut-être n'est-elle juste que le pendant sain du papillon. Avoir Alice et le petit fou serait bien pour faire plus de photos ensemble. A present qu'on a fait tomber les vieux murets du jardin j'ai moins d'endroits delabrés pour prendre des photos. Mais je vais resoudre ça.. me reste le vieil appenti dans le jardin encore XD

Oaui !! Lulu est de retour !!

Ma petite araignée à enfin un corps, un vrai et il est vraiment beau. Dollmore je vous aime X3
Il est très très souple ce qui va me faciliter le travail pour la contortionner. Il peu prendre des pose un peu deformées mais très gracieuses. en plus la resine passe nikel. C'est le pied quoi XD
La tenue est tout à fait celle que je voyais pour Alice, un peu vielliotte. Maintenant faut que je trouve une perruque à sa taille mais la soeur araignée du petit fou est enfin née.

quel beau visage *.*
ah oui ca donne envie des corps pareils ...T.T (*kick luts*)

J'ai mis du temps à trouver un corps qui me convenait pour Alice, les corps MSD sont souvent très mastoc, limite nageuse russe (les DoC old version ou les MSD de volks par exemple X_x ) ou alors trop formés. Alice est une enfant alors la poitrine d'une minifée ça passe pas du tout XD

Je recommande les corps MSD de dollmore là, les jambes sont magnifiques, les mains super souples et gracieuses, le buste très souple et adorablement enfantin. C'est que du bon XD

La Dione a un tel regard intense elle est vraiment hypnotisante. sauf qu'on voit pas souvent ses yeux à cause de la perruque XD

Kyaaaaah comme elle est magnifique !!!

Ce corps est une pure merveille *_*


Ses poses sont déjà un peu cassées, j'adore celle de 3/4-profil où elle est toute recroquevillée...

Elle est tellement jolie! ce corps lui va bien... et elle a vraiment un regard qui hypnotise!

Elle est superbe!!!
J'adore ce corps gracieux *fait une fixette sur les mains*

elle est trop belle! bah dis donc, une fille chez toi, c est une premiere, non?

alors, le corps dollmore? c est pas une pure merveille?

Nan c'est pas une premiere, Vodka c'est aussi une fille, si si... enfin je crois parce que là pour le moment elle n'est qu'une tête mais une fille qui fait fille à 100% oui, c'est une premiere ... mais bon, en même temps c'est pas vraiment une fille dans son comportement.
Oui, pure merveille ce corps, avec les unoas c'est mon corps MSD preferé je crois.

Ha vi elle est superbe ! c'est clair que le corps dollmore est très articulable et posable ^^

Aujourd'hui c'est orgie générale, ajout d'une autre partie de l'Asylum et de photos ^^

Viterith 28 th, 755

Tout est faux ! Pourquoi me piéger à nouveau dans ce monde insensé ? ! J’ai fait bouffé une seringue à l’infirmière qui voulait me piquer ! Assez des drogues ! Je ne suis pas celui que vous pensez, je ne suis pas de ce monde ! Je me suis échappé, encore mais cette fois je n’irait pas me faire piéger dans le parc. Si c’est l’image de mon asile inversé alors je dois retrouver la porte qui m’a conduit ici. Les gens meurent pour de bon dans ce monde, c’est idiot. Caché dans un placard j’entends leur pas pressés et leurs cris d’angoisse. Le monstre s’est enfui disent-ils. Et l’homme sui enrage et qui hurle. Il croyais me piège, m’enfermer dans une image qui n’est pas mienne. Ici je peux trouver un moyen de le tuer. Mais mon principal soucis c’est la porte. Sur ma joue le papillon se réveille, ses ailes font une brise léger qui joue avec mes cheveux. Il me parle, mon papillon me parle enfin, lui qui cachent tant de secrets. La nuit tombera vite, je dois dormir.

Patzeith 1 st, 755

Ils me cherchent dehors, tant mieux. Je sort de cette cachette et je marche dans les couloirs. Le papillon m’a dit de le cacher. Un chariot dans un coin et des bandes de gaze. Je ressemble à une momie mais qu’importe. Il faut trouver la porte. J’ai du mal à me rappeler où aller. Les drogues m’ont embrouillé la tête. Ils ont voulu que je devienne un autre mais je suis moi, je suis celui qu’Alice a nommé. Le Minotaure … Il faut que j’appelle le Minotaure, lui connaît la porte. Mais je me sens faible et vide. Il faut que je me ressaisisse. La bibliothèque, la salle de jeux si colorée, les dortoirs.. Un cri fait bondir mon cœur, un cris de dément, aussi profonds que celui d’une bête, un cri de haine et de douleur. Je ne reconnais pas la voix mais je connais ces sentiments. Les couloirs sont de plus en plus sombres et poussiéreux, les infirmiers ne me voient pas. Les portes sont des murs impénétrables, des verrous et de l’acier. Je regarde par les trappes et je vois les déments, ils ne sont pas les miens mais ils sont comme moi, abandonnés de tous. L’homme est un monstre et ces enfants de la nuit sont ses échecs. Je vois leurs images, leurs souffrances, ceux qui n’ont pu être sauvés, il les a enfermés. Mon asile, mon doux foyer, c’est ça que tu voulais ?

Patzeith 2 nd, 755

Ils ont arrêté les recherches, ils me croient loin, j’entends l’homme enrager, il va repartir me chercher, il veut me sauver coûte que coûte. Il parle de choses que je ne comprends pas, d’argent et de gloire, des médias et de célébrité. Ces mots sont creux à mon oreille. Je me suis réfugié dans la chambre d’Ana. Elle est jolie cette poupée de verre. Elle ne parle pas, ne regarde pas, elle se balance toute la journée sur un fauteuil à bascule, j’ai lu son histoire dans sa tête, il voulait la sauver aussi, il l’a brisée. Ana me sourit parfois, elle ressemble à Alice. Je l’emmènerais dans mon asile. Je les emmènerais tous. Ils sont des enfants du papillon, comme moi. Ana ouvre parfois la bouche, mais pour hurler. Elle a une vois aiguë qui transperce les sens comme des pics que glace. Quand elle crie trop longtemps, un infirmier vient la voir et lui fait une piqûre. Ana s’endors. Elle plonge dans ses rêves. A coté il y a Jareth, il voit des choses, il crie et remue à longueur de temps, il frappe le vide et hurle qu’ils ne l’auront pas. Bien sur que non ils ne l’auront pas, ils ne le veulent pas, il veulent seulement sortir mais Jareth leur barre toujours la route à s’agiter. Je me sens comme à la maison ici, c’est doux.

Patzeith 3 rd, 755

J’ai parlé à Ana de mon asile, elle veut bien y aller, enfin je crois, c’est difficile à dire parfois avec elle. Mais elle a grogné, je prends ça pour un oui. Il faut qu’elle hurle de toute ses forces en pensant au Minotaure, c’est lui qui nous trouvera le chemin. Ana hésite, elle ne sait pas ce que c’est un Minotaure. Elle ne connais que Lucrèce, sa harpie, mais l’homme l’a enfermé loin d’elle il y a longtemps… et si l’homme avait pris Minotaure.

Patzeith 4 th, 755

Ana me parle, elle a confiance, ça ne sont pas des mots mais des morceaux de vie entier. L’homme cherche quelque chose, il cherche un enfant né du papillon. Ana a résisté aussi longtemps qu’elle le pouvais mais rien à faire. L’homme lui a enlevé sa harpie.

Patzeith 5 th, 755

Ana a hurlé tellement fort que les vitres ont volé en éclats. Le Minotaure est là près de moi, il était à la guerre. Il sent bon l’odeur d’Alice aussi. Ana vient avec nous, les autres on verra, je vais ouvrir les portes, si ils nous suivent alors qu’ils le fassent. Le Minotaure m’a promis de sauver Lucrèce, moi je dois partir, l’asile se meurt sans moi. Ana me prends la main, elle hésite sur ses jambes, elle n’a pas marché depuis si longtemps. Les autres sortent des cellules, certains ont trop peur, mais je n’ai pas le temps pour eux, l’asile voulait Ana et Lucrèce, j’en suis sur. Deux nous suivent, Jareth lui piétine le corps de l’infirmier en riant, ses démons sont partis quand la porte s’est ouverte, il ne sera plus comme nous d’ici peu. Il faut faire vite, cinq nous ont suivit. La porte est loin. J’ai l’impression d’exploser dans ma tête, pourquoi est ce que je cours ? Pourquoi est ce que j’ai peur ? Je n’ai rien à craindre de l’homme, rien à craindre de son univers. J’ouvre la main et je froisse ce monde comme une feuille de papier. Mon Asile veut me rendre fou. Il est joueur. Je veux revoir Alice.

Patzeith 6 th, 755

Alice n’aime pas Ana, elle doit être jalouse. Ana a une belle poitrine, c’est ça qu’Alice jalouse, mais j’aime tes petit seins ma Alice, tes petites cerises.
Lucrèce semble bien s’adapter ici, le Minotaure semble gauche et benêt à coté d’elle. Je me sens bien dans mon asile. Mais il me le paiera !

Patzeith 8 th, 755

Alice me boude, Ana s’ennuie, Orla et Alban sont parti rejoindre le camps des soldats. Dans les couloirs c’est comme toujours. Celui à la hache a décidé de s’en prendre à une nonne, ils se battent à coup de hache et de chaises. Le pied de la chaise lui est rentré dans l’œil et a transpercé le crâne. Les nonnes ne sont pas faciles à avoir.

Patzeith 9 th, 755

Lucrèce m’a offert une de ses plumes, c’est plus difficile d’écrire avec mais c’est tellement joli. Le plonge la pointe dans mon cœur, le sang coule un peu mais c’est tellement plus joli que l’encre. Je n’ai pas revu l’homme, c’est idiot mais je m’inquiète, il commençait à faire parti de mon monde. Il faut que je l’oublie et que je me concentre sur la porte.

Patzeith 11 th, 755

J’ai mal … J’ai vraiment mal. La plume de la harpie était poison, mon cœur saigne à flots, si je l’attrape je ferais en sorte qu’elle ne puisse plus jamais voler. Mon sang est noir. Je ne l’avais jamais remarqué. Est ce le poison ou mon âme ? Ana dit qu’elle voulait plaisanter mais je sais que c’est faux. La harpie ne m’aime pas, elle me voit comme un rival à la folie de sa maîtresse, qu’importe, ici je suis le maître. Qu’elle parte si elle n’est pas heureuse !

Patzeith 12 th, 755

Alice pousse Ana à partir. Mais partir où ? Ana ne sait plus retrouver son monde. Ma petite sœur ressemble à une vipère, ses mots blessent comme une morsure. Les nonnes aussi s’agitent. Maman me fuie et Papa est allé se pendre ailleurs. Je vais aider Ana à trouver sa montagne. J’aime bien la neige. C’est si beau, je vois le petit corps d’Alice étendu sur la glace, le sang lui coule de la bouche, des petites gouttes ont giclé sur le blanc immaculé. Elle est belle dans sa mort. Alice est toujours belle quand elle meurt.

Patzeith 14 th, 755

J’ai des rêves étranges dans la tête, l’homme a mis des choses en moi, des mémoires qui ne sont pas moi. A qui ils sont je n’en sais rien, des bribes de mots, des images sombres, ça n’est pas mon monde… La Harpie me regarde d’un air distant, derrière ses yeux rouges je peux deviner sa haine pour moi. Pourquoi ? Ana dit qu’elle s’ennuie de ses montagnes. C’est pas une raison pour essayer de me boulotter ! Je me demande pourquoi mon asile voulait les sauver, Ana m’écœure soudain. Je ne veux plus la voir, elle fait du mal à ma Alice, elle la rends sombre et amère. Et si Ana était une goule ?

Patzeith 15 th, 755

Non, non, Ana est comme moi, elle est un papillon, mais elle n’est pas un papillon d’ennui, elle est une autre chose, je ne sais pas quoi mais son papillon est blanc. Ana n’est pas un ange pourtant, loin de là. Je l’observe évoluer dans mon décors, elle cherche quelque chose, elle cherche sa place, ses odeurs, Ana ressemble de plus en plus à un animal, elle dévore des âmes errantes qu’elle croise sur son chemin. Elle n’est pas comme moi, je ne veux pas devenir un animal seulement mû pas un instinct de survie, je suis moi, un papillon noir, pas une goule blanche comme elle. Qu’elle retourne dans sa montagne je ne la retiens pas. Le Minotaure l’évite. Il sait quelque chose que je ne sais pas. Les nonnes ont disparu à nouveau et il ne reste qu’Alice, étendue sur le sol, une flaque de sang séché qui auréole ses cheveux blond. Alice ressemble à un crépuscule, le rouge du ciel et le blond du soleil. Mon asile est fou, il veut que je sauve l’insauvable, Ana me dégoûte, Ana la goule blanche et sa harpie.

Patzeith 16 th, 755

Je suis retourné à la bibliothèque, ça faisait des années, je n’aime pas cet endroit. Il est vide, vide de tout. Mon asile ne veut pas que je lise. Suis je maître ici ou le serviteur, tout ça m’énerve. Mais aujourd’hui j’ai pu ouvrir un livre. Il était énorme, posé sur la table. Le cadenas ressemblait à une bouche béante. J’ai mis le bras d’un soldat que je réservais pour mon dîner. Le cadenas rassasier, le livre est ouvert. Il y a des mots, des mots comme les miens mais des mots plus compliqués, je ne comprends pas tout, je m’en fiche, ce ne sont pas les mots qui m’intéresse mais les cartes. Ana mange mon asile à vue d’œil. Elle a voulu manger le corps d’Alice mais je lui ai enfoncé un barreau de lit dans la gorge. Elle ne pourra rien manger avant un moment. J’ai caché Alice. Les cartes sont jolies, colorées, je ne les comprends pas, pour moi le monde c’est mon asile et la plain, là où il y a la guerre, les collines autour, mon monde s’arrête à l’horizon.

Patzeith 17 th, 755

J’ai trouvé la carte du monde d’Ana, c’est un monde froid et enneigé, où le soleil brûle les yeux et ou les jours sont sans fin. La goule blanche se plait dans le froid. Mon asile m’a donné l’histoire d’Ana, l’histoire de l’enfant abandonné dans les neiges. Je n’ai pas pitié d’elle, la pitié c’est pour les faibles.
Ana est née marqué du papillon, personne ne voulait d’une enfant du papillon dans son village. Sa mère a du l’élever en cachette, dans la haine et la honte, Ana a grandi cachée et son monde a commencé à germer, le monde du papillon. Les hommes ont découvert le monde d’Ana, ils ont découvert son horreur et sa fascination. Les hommes sont venus, armés de lances et de torches, ils l’ont lynchée. Plus il la lynchait plus elle s’éveillait à la vie, les enfants du papillon sont comme ça. La harpie est apparut quand les hommes sont partie, les hommes sont fou, les enfants du papillon ne meurt jamais. Ana et sa harpie sont partie dans leur monde, laissant la porte ouverte aux hommes. Ana est une goule blanche, elle doit nourrir sa haine du sang de ses ennemis. Et elle en a beaucoup. Pas étonnant aussi si elle essaye de manger tout le monde. Ana ne sais pas arrêter sa faim, elle est idiote. Et puis l’homme, le chasseur de papillon est arrivé pour la sauver. Ana est une idiote et s’est laissé piégé avec sa harpie. Après je connais les images dans la tête d’Ana, elle me les a montré dans l’autre asile. Les hommes sont des fous qui pensent qu’ils peuvent attraper les papillons. Je connais l’histoire d’Ana, mais je ne sais pas la mienne, ou si, je sais ce que je sais, et ça me suffit, je ne veux pas creuser dans ma tête, ça fait trop mal. Mon asile m’expliquera en temps voulu, il l’a toujours fait.

Patzeith 24 th, 755

Nous sommes parti, le Minotaure la harpie la goule et moi, j’ai confié l’asile aux nonnes, elles savent quoi faire sans moi, Alice boude encore mais elle revit, je lui ramènerais un cadeau. Je n’aime pas partir loin de mon asile, j’ai peur, peur de ces mondes inconnus remplis d’hommes. Sur l’épaule du Minotaure je vois les paysages défiler, s’imprimer dans mes yeux. La harpie vole avec Ana sur son dos. Même si je ne l’aime pas son vole gracieux me plait, elle ressemble à une grande mort. Une ombre effrayante. Le monde défile au pas de course du Minotaure, bientôt les limites du mien, j’ai le cœur serré en apercevant le néant. Je n’ai pas envie de le quitter mais il faut ramener Ana chez elle avant qu’elle ne fasse vraiment du mal à Alice. Je la sentais fouiller les confins de mon asiles ces derniers jour, pour retrouver le petit corps de ma sœur araignée. Nous entrons dans le néant, c’est un endroit sans odeur ni saveur, un monde aveugle qui infante les étoiles.

Patzeith 25 th, 755

J’ai l’impression de flotter dans ma tête, ici il n’y a rien, ni haut ni bas, rien du tout. J’écris sans savoir si les mots s’imprimeront sur mon cahier ou si ils s’envolent dans le noir. Je n’ai ni chaud ni froid, je flotte c’est tout. Le Minotaure continue à courir droit devant, vers le monde d’Ana. Lui et la harpie ne semblent pas affectés par le néant. Peut être parce qu’ils sont dans leur éléments. Je ne me rappelle plus vraiment de ma première rencontre avec le Minotaure, juste quelques images. Et ma colère, je me rappelle ma colère et ma fièvre, contre qui, je ne sais pas. Et puis il est arrivé, il est apparu de nul par et m’a pris dans ses bras, je n’ai pas eu peur, il était grand et doux, mon protecteur, comme si je savais depuis toujours qu’il viendrait, que je ne risquais rien avec lui. Le calme m’a envahi. Ana somnole sur le dos de sa harpie. Se souvient-elle de son premier jour ? Je ne crois pas. Ana n’aime pas sa harpie, elle lui a donné un nom, pas par amour mais pour la lier à elle. Mon Minotaure est libre lui, sans nom, sans attache, il peut aller et venir à sa guise. La harpie elle est liée à Ana, liée à ses désirs et à sa haine. J’ai l’impression d’avoir fait une erreur, mais le désir de mon asile était plus fort, il voulait sauver Ana, sauver cette goule blanche, une sœur papillon.

Mes deux morceaux de folie, Alice, douce et brisée et mon papillon noir. Pour le moment je ne l'ai pas encore modifiée, laissons penser qu'elle porte son corset
Faudra vraiment que je trouve des perruques à leur taille.. A vot' bon coeur mesdames messieurs XD
















Et la photo bonus avant le massacre de laraignée par le petit fou XD

Rholala j'adore tes petits "monstres"...

Je sais pas, à chaque fois que je vois leurs photos ou que je lis tes textes, ça me remue.
C'est vraiment poignant, fascinant même.

Ils sont vraiment trés beaux ce petit fou et son araignée. Alice est fascinante...