Blanche - nouveau make up + 2 photos hors serie

[Lweeling: voici deja un petit extrait des debuts de la vie de Sammael ^^ en esperant que cela te plaise

°oO - Milo chan - Oo°: c'est ce que je me dit aussi XD

Anzu : Merci beaucoup ^^

Bonjour je me nomme Sammael, mais à l'origine il n'en était pas vraiment ainsi...

Je suis née en l'an de grâce 1647, enfant illégitime de Louise de Grandseigne et de Charles d'Artois Duc de Berry.
Je fus baptisée Blanche d'Armagnac Duchesse de Berry, immédiatement après ma naissance, la peste étant présente en ville, certaines précaution religieuses était à prendre en cas de décès infantile.
Ma mère pris grand soin de moi dans les cinq premières années de ma vie, puis elle disparue emportée par la cuisante douleur d'une fausse couche.
Mon père peu concerné par mon existence m'envoya avec ma nourrice chez un de ses amis, qui se fit joie de m'accueillir en sa demeure.
Mr de Marqueyssac car tel était son nom, pris soin de m'apprendre le chant, la danse, la litterature, l'astronomie, la biologie,les langues et bien d'autres choses.
En l'an 1661, j'avais alors 14 ans lorsque l'on me présentât Françoise Scarron née d'Aubigné.
Elle ne le savait pas encore mais allait devenir grande dame à la cour du Roi.
Nous passâmes quelques mois ensembles jusqu'à ce que Mr de Marqueyssac me demandât de faire des adieux, qui j'esperait allaient être provisoires, à ma nouvelle amie.
Mon tuteur et moi même nous rendîmes à Versailles, ignorante des choses de la cour, je me faisais discrete mais saluait les grands seigneurs et les grandes dames que l'on me présentait.
Mr de Marqueyssac m'introduit auprès de Mme de Lavallière, une femme fort impressionante de part sa beauté et sa prestance. Elle me detailla avec un sourire amusée et donna congé à mon tuteur.
Elle me demanda de me lever et me fit tourner sur moi même. Après quelques instants de silence elle m'annonca que j'allais être suivante de la reine Marie-Thérèse d'Autriche.

Fin pour aujourd'hui.
Il s'agit là d'un extrait de la vie mortelle de Sammael. Très court certes mais ce n'est qu'un début ^^

Tu écris toujours aussi bien miss ^^
J'ai hate de connaitre la suite ( même si ça me change de la voir française alors que à l'origine..... XD )

Maz: Merci "rougit des doigts de pieds à la racine des cheveux" Voici la suite ^^ j'espère que cela rapellera des souvenirs à une personne de notre connaissance :D


Comme l'avait dit Mme de la Vallière, je devint suivante de Marie-thérèse d'Autriche.

Contre toutes attentes elle m'accueillit plutôt bien.
Elle semblait ravie d'avoir une jeune demoiselle à ses côtés, enfin c'est ce qu'elle s'est exclamée lorsque j'eus posé le pied dans ses appartements.
Les années passèrent et je restait derrière chaque gestes de cette reine.
J'avais à présent 19 ans et je n'était pas mariée, chose rare à cette époque.
C'est la reine elle-même qui se refusait à me voir épouser un homme. D'un côté je lui en voulait un peu, de l'autre je lui en était extrêmement reconnaissante. L'idée de devoir partager ma vie et ma couche avec un homme doté de cinq fois mon âge me donnait des nausées.
Tout les matins il y avait la même routine, le petit lever, puis le grand lever, le dejeuné, les occupations de la journée puis le coucher. J'aimais ces gestes quotidiens, quelque part c'était...rassurant.
Puis un matin, cette routine fut dérangée.
Ce fut au grand lever que nous le vîmes pour la première fois, les dames, les mignons et les seigneurs venaient de donner leurs noms à l'huissier, comme tout les matins ils étaient environ une cinquantaine, il était tout d'abord resté en retrait puis s'était avancé quand un homme vint vers sa majesté pour lui confier l'intensité de ses sentiments d'admiration, bien sûr il fut promptement écarté par les gardes suisses qui le gardèrent à l'oeil durant tout le grand lever.
La reine se leva et selon l'etiquette je lui enlevais avec attention et douceur sa robe de chambre, puis mesdemoiselles des Oeillets lui ôtèrent sa chemise de nuit : l'une par la manche droite, l'autre par la manche gauche. Puis vint Madame la cousine du Roy, en retard bien evidemment. Elle seule ici à présent était assez digne de l'étape suivante de l'habillement de sa Majesté: la chemise. Elle arracha donc des mains de la duchesse qui s'aprettait à vétir la reine, ladite chemise et lui adressa un regard des plus venimeux. Pendant ce temps... la reine grelottait.
Une fois la chemise passée, la reine se rassit et nous commencâmes à nous agiter.
L'étrange gentillhomme ne quittait pas Marie-Thérèse d'Autriche du regard. Cet homme paraissait faire palir la beauté des lieux par sa simple présence. Ses yeux d'émeraude fixés sur le visage fermé de sa majestée.
Quand nous eûmes finit d'habiller la reine, nous nous déplacâmes vers une salle attenante aux appartements pour le dejeuner.
Là, le gentillhomme aux yeux captivant me prit à part.

- Demoiselle, veuillez excuser mon impudence mais sa majesté a-t-elle prévue une soirée dans les jours à venir ?

Cet homme était comme sortit d'un de ses livres que le dauphins aimait lire en cachette. Ses cheveux bruns lisses et court non recouvert d'une de ses perruques attestant de la noblesse d'une personne, me firent me montrer mefiante.
Il dût s'en apercevoir car il se présentât promptement.

- Pardonnez moi, je ne me suis pas présenté. Je suis Cyanure de Mortain, Duc de Savoie.

Il s'inclina et me sourit gentillement. Je n'eû le temps de lui répondre car la Reine m'appelât à ce moment même.

- Blanche. Ce matin je voudrais que ce soi toi qui m'apportât mon thé au citron.
- Bien Madame, il arrive.

Je m'inclinais doucement et partit prestement de l'autre côté de la pièce pour récuperer le service en argent qui servait au déjeuner. Je placait la tasse, le sucre et la cuillère, puis versait avec attention le thé tant apprecié. Une fois cet acte finit et le service reposé à son emplacement originel, la reine me gratifia d'une sourire maternel qui me fit rougir.
Le Duc de Savoie était toujours là. Il regardait toujours avec attention sa majesté la reine de France et quand nous partâmes pour la chapelle afin de rejoindre le Roy pour la messe du matin, il nous emboita le pas avec un sourire ironique.
De onze heure à treize heure venaient les confessions. C'est à ce moment là que Cyanure de Mortain revint à la charge.

- Demoiselle Blanche c'est cela ?

Je refermais mon mycène avec un agaement à peine contrôlé.

- Oui Monseigneur. Que puis je pour vous ?
- Je voudrais avoir une audience auprès de sa majesté.
- Pour cela Monseigneur ce n'est pas à moi qu'il faut s'adresser, mais au Chambellan.
- Je parlais de sa Majesté la Reine.

Je me levais et m'approchais de Marie-Thérèse d'Autriche. Je lui chuchotait à l'oreille la requete du Duc et attendit sa réponse.
Quelques minutes après il était à ses côtés entrain de lui faire la conversation.
Mesdemoiselles des Oeillets en étaient toutes étonnées. Nous eûmes d'ailleurs le temps de parier sur le fait qu'il ne faudrait pas beaucoup de temps au jeune homme du matin pour revenir à la charge s'il découvrait qu'un autre courtisans tentait de s'attirer les faveurs de la reine.
Malheureusement nous eûmes raison et Monseigneur le Duc d'Escoublant, le jeune homme du grand Lever, n'avait pas dit son dernier mot.
Une fois les confessions terminées, le Duc de Savoie se retira et la reine, ses suivantes et les courtisans présents allèrent dans la salle à manger du Roy pour le Dîner au Petit Couvert.
Monsieur de Mortain réaparut par enchantement lors de la promenade. Nous nous étions changées et nous portions la réplique exacte de la robe de la reine.
Il s'inclina devant la reine qui lui sourit, et une fois qu'il fut dans le cortège derrière la reine me lanca un regard dont l'intensité équivalait à peu près au Maréchal de France qui vient d'écraser les Prussiens, lors d'une enième bataille.
Nous nous arretâmes dans le bosquet de l'Encelade. Assise dans un coin je ne vîs pas Monsieur d'Escoublant approcher, quand il m'adressa la parole je sursautait, surprise au possible.

- Pardonnez moi mais il me semble vous avoire reconnue. Vous êtes Blanche d'Armagnac n'est-ce pas ? La Duchesse d'Artois ?
- Euh...Oui en effet. Et vous êtes ?
- Je suis le Duc d'Escoublant, fils du grand ami de monseigneur le Duc de Berry.
- Heureuse pour vous monsieur. Pardonnez moi, sa Majesté à besoin de moi.

Alors que je m'appretait à partir en direction de la reine, il me retint par le bras.

- Mademoiselle, étant suivante de sa Majesté, je pense que vous avez pu constater l'interêt que je lui porte.
- En effet monsieur, mais ce n'est pas moi que cela regarde. Je vous serais gré de me lâcher à présent.
- Si. Bien sûr que cela vous regarde après tout vous n'êtes que sa suivante.

Il n'eût le loisir de continuer car le pommeau d'une canne en argent posé sur son épaule l'interrompit.
Cyanure de Mortain, Duc de Savoie, se tenait derrière le courtisans épris de la reine.

- Monsieur, si je puis me permettre ce n'est pas de cette manière que l'on s'adresse à une jeune demoiselle.
- Vous êtes comme moi... Vous tentez de vous rapprocher de la reine par tout les moyens, quoique pour moi elle n'est pas l'objet que d'un simple désir.
- A propos de chaque désirs il faut se poser cette question: A quoi bon désirer si l'on ne peut profiter ?

J'était siderée par le ton méprisant sur lequel s'adressait Monsieur de Mortain au Duc d'Escoublant, ce dernier aussi par ailleurs.

- Vous vous dites Duc mais c'est la première fois que l'on vous vois à la cour.
- C'est vrai, disons que je faisais comme les ours lors des saisons d'hiver... j'hibernais.

Il eût un rire silencieux comme s'il riait d'une farce personnelle, ce qui ne manquât pas d'enerver Monsieur d'escoublant.

- Je n'aime pas que l'on riât à mes depends monsieur. Si mademoiselle me pardonne, je vais prendre congé. Cet homme est un cauchemar pour l'etiquette de Versailles.

Cyanure de Mortain haussa les épaule et se retourna vers moi. Il s'inclina devant moi et retourna près des courtisanes me lançant ses mots sur un ton victorieux.

- A ce soir donc pour le ballet du Roy!

J'aime beaucoup l'histoire de ta puce.
L'épisode avec la chemise de la reine me fait penser au documentaire sur Marie-Antoinette qui est passé à la télé cette semaine.

Tu vas lui faire un look avec des costumes de l'époque?

Expldrrrrrr j'en peux plus, j'ai les larmes au yeux ( j'imaginais trop ton histoire) Voilà que mon vampire ce retrouve a la cours du roi soleil trop fort j'adore ^^.
T'es super douée ^^
Ouaiii faut lui faire les robes ^^( si tu veux bien que je ne suis pas une as je pourrais t'aider si bien sur on arrive a se voir un jour XD)
En tout cas j'ai hâte de lire la suite ^^.

Cyanure: Voilà bien longtemps que je n'avais pas entendu ce nom d'emprunt ...Duc d'Escoublant .... ça me dis vaguement quelque chose en effet.... encore un qui se croyait seigneur alors qu'il n'était que laquait*sourire arrogant*

Wouah, ben dis donc, tu sembles bien connaître l'étiquette de Versailles à cette époque Passionant à lire

Ninette: Merci En effet ce morceau en est tiré, je l'ai un peu remanié ^^
J'aimerais beaucoup pouvoir l'habiller avec une ou deux robes d'époque mais comme je ne suis pas très douée en couture c'est un peu compliqué ^^

Maz: "rougit" merci beaucoup On arrivera à ce voir un de ses quatres XD on y arriveras mdrrr^^

Blanche: Oui enfin il t'avais quand même donné du fil à retordre... rien qu'au ballet, puis ensuite à la cour...enfin...peut-être ta mémoire te joue-t-elle des tours

Fandre: Merci disons que j'aime énormement l'histoire et que cette période en particulier est l'une de mes préférées de l'histoire de France donc je l'ai beaucoup potassée lors de mes cours et voila le résultat ^^

Prenant, ce petit récit.. la suite, avec des photos en prime ?

Bé bravo!
Ce fut un récit très plaisant à lire!

Par contre, c'est bizarre, mais Sammael, je l'imaginais vampire de type Moyen-Oriental, par les fois où tu l'avais faite intervenir sur les autres sujets... Va comprendre!

Fallen_Angel: Merci beaucoup "rouge" ca me fait très plaisir ^^

Nirmë: Merci ^^ Pour les photos ce ne sera pas tout de suite mais bientôt ^^. Dans le prochain recit que je vais poster il y aura quelques images ^^ mais je ne promet rien ^^

Allana: Merci beaucoup ^^ OUi enfin... a l'origine le personnage de Sammael est une midjai, une guerrière du desert mais n'ayant pas prit le modèle qui convenait pour ce personnage (les moyens financiers faisaient l'école buissonnière ce jour là ) on en a fait une gentille tite ange ^^ je la prefère comem ca a vrai dire ^^

[color=darkred]En cette soirée colorée d'été, les jardins de Versailles s'illuminaient au rythme des oscillement des flammes que les bougies de cire blanche arboraient.
Les buffets placés sur la terrasse du château et les courtisans en contrebas parlant et riant donnaient une assez bonne idée de se qui se préparait.
L'huissier du Roy, de sa canne imposante, frappa le sol de trois coups à la résonnance grave, ce qui eut pour effet de ramener le silence parmi les courtisans.

- Leurs Majesté, le Roy et la Reine de France!

Tous autant qu'ils étaient, s'inclinèrent. Puis les bavardages reprirent lorsque l'orchestre se mit à jouer.
Le Roy et la Reine se saluèrent puis partirent chacun de leur côtés. Le Roy rejoignit Mme de Maintenon tandis que la Reine et ses suivantes s'installèrent dans un coin tranquille des jardins.
Elle chargea l'une des demoiselles des Oeillets d'un messsage pour le Duc de Savoie. Celui-ci arriva quelques instants après, s'inclinant respectueusement devant Marie-Thérèse d'Autriche. Blanche crut apercevoir l'ombre d'un sourire victorieux courir sur ses lèvres.
Elle se mit en retrait et attendit les ordres de la reine.
Cyanure de Mortain, prit place aux côté de la première dame de France et ils commencèrent à discuter de tout et de rien.
Blanche commençant à s'ennuyer ferme, fila sans bruits, laissant la reine et son ami seuls.
Elle fût interpellée par Madame de la Vallière qui avec un grand sourire lui fit part des dernières rumeurs à Versailles.

- Saviez-vous très chère, que l'on dit certaines choses sur le Duc de Savoie ?
- Non, je l'ignorais. Que dit-on de lui?
- Cela vous interresse ?
-Bien sûr! Sa majesté est en ce moment même avec lui. Cela m'ennuierait s'il lui arrivait malheur.
-Bien. Voila ce que l'on m'a dit. Il paraîtrait que cet homme au visage d'ange aurait une âme aussi corrompue que celle du Diable. Je m'explique, il serait un libertin inveteré. Quoique cela pourrait être oublié, il y a pire.
Un homme de bonne naissance l'aurait aperçut un jour entrain d'egorger un enfant.

La jeune fille se figea.

- Un...un enfant ?
- Oui ne serait-il pas atroce qu'une bel homme comme lui soit si ...cruel. Oh! j'allais oublier. Le comte d'Escamillia nous a fait peur. Il nous a raconté qu'en ville deux filles du peuple avaient été retrouvées entièrement vidée de leur sang. Un vampire roderait en ville.
- Un vampire ? Enfin voyons. C'est comme les anges, jusqu'à ce que cela me soit prouvé je n'y croirait pas.

Elle prit congé de son "amie", et retourna auprès de la reine qui saluait de la tête le Duc d'Escoublant sous le regard irrité de Monsieur de Mortain. Elle attendit que le jeune duc ait fini de saluer la reine pour le prendre à part, afin d'éviter à ce jeune homme d'être la cible des foudres du brun courtisan.

- Monsieur d'Escoublant, pardonnez moi de vous avoir enlevé ainsi mais.... mais je me posait quelques menues questions.
- Des questions jeune damoiselle moi même en ait. Pourquoi ne poserions nous pas une question l'un après l'autres de manière a ce que cela soit équilibré et juste ?
- Oui, je vous remecie.
- Ne vous en déplaise, je suis là pour votre sourire.

Blanche sentit le rose lui monter aux joues, elle détourna donc son regard avant de poser la première question.

- Puis-je savoir ce qui vous retient auprès de la Reine ?
- Et bien... disons qu'elle est la geolière de mon coeur. Je suis un prisonnier retenu par les fers de ses yeux.

La jeune femme sourit, les hommes amoureux pouvaient être amenés à dire des choses bien amusantes.

- A vous demoiselle. J'ignore jusqu'à votre prénom, pourriez vous me le reveler ?
- Je suis Blanche d'Armagnac, Duchesse d'Artois.
- Et comment cela se fait il qu'une jeune dame aussi belle que vous ne soit pas encore mariée ?
- tut tut tut monsieur le duc, c'est à moi de poser une question à présent.
- Désolé, vous m'interessez.

Blanche ne prit pas compte de la dernière phrase du duc d'Escoublant et prit le temps de réfléchir à sa question. Elle fut tirée de ses pensées par le duc lui-même qui, avec douceur menait la main de la jeune suivante à ses lèvres pour en baiser le dos.

- Monsieur ?
- Désolé vous m'intriguez. Votre peau est très pâle, seriez vous malade ?
- N...non. Monsieur, je vous prierait d'éviter ce genre de comportement.

La jeune femme retira sa main, s'inclina et commenca à partir. Elle fut retenue par le duc d'Escoublant qui la rattrapa par le coude. Il l'entraîna avec lui sur la terrasse où quelques couples avaient commencés à évoluer au rythme des menuets. Il la fit danser, malgré les regards noirs qu'elle lui lancait. Pas d'esclandre en public telle était la règle, mais il allait s'en mordre les doigts.

- Monsieur ? puis-je savoir où vous avez apprit à danser ? Je vous trouve un peu gauche pour un courtisan commun des bals du Roy.
- Et vous demoiselle je vous trouve un peu trop prolixe. Votre venin ferait bien de s'arreter de s'écouler si vous ne souhaitez voir l'aube en bon etat....

Disant cela il s'était éloigné de la terrasse avec Blanche qui palissait a vue d'oeil.
La Reine elle, venait d'être enlevée à Monsieur de Mortain par le Roy lui-même. Il désirait danser, et quand le Roy veut : il obtient, ainsi cela est.
Blanche trainée jusque dans l'un des bosquet, se refugia derrière l'imposante statue d'Europe qui se tenait au centre du dit bosquet.

- Blanche...vous savez ce que j'éprouve pour la reine....mais savez vous ce que j'éprouve à l'instant même. Ce que j'éprouve envers vous ? ...De la haine.
- Pourquoi me hair ? a ce que je sache, je ne vous ai rien fait....
- Bien sur que si! Vous m'avez crevé le coeur en introduisant auprès de sa majesté cet espece d'energumène.
- Vous .... vous parlez du Duc de Savoie ?
- Lui même. Vous êtes une traitresse à mes projets.

Il contourna la statue et rattrapa Blanche. Du bout des doigts il lui caressa la joue.

- Vous allez être une jeune suivante bien sage....

Une main gantée se posa sur l'épaule de Monsieur d'Escoublant. Quand celui -ci se retourna il fut accueillit par un poing toujours ganté qui dans un craquement sinistre le fit reculer de quelques pas.
Monsieur de Mortain entraîna la demoiselle d'Armagnac avec lui, d'une manière telle qu'il était impossible de protester.
Arrivées vers les courtisans, le duc de Savoie relacha Blanche, qui se retourna vivement vers lui.

- Je vous remercie mais j'aurais très bien pu m'en sortir toute seule.

D'abord desarçonné par l'audace de la jeune femme, il sourit, décidement les femmes de ce siècle étaient étonnantes.

- Vraiment ? Et comment auriez vous fait ? vous lui auriez vrillé les tympans ? Je vous rapelle que j'ai sauvé votre féminité si ce n'est votre vie...
- Cela vous plait il tant que cela d'arriver en scene tel le Deus Ex Machina ?
- Je suis votre sauveur, que cela vous plaise ou non et sachez le...oui cela me plait d'être l'element qui fera pencher la balance.
- Cher ami soyez gentil, cherchez vous une autre cruche pour approcher la reine.

Cyanure de Mortain eut un sourire tendre et contre toutes attentes fit un baisemain à Blanche.

- Je n'ai pas besoin d'une cruche pour m'approcher de la reine je suis bien assez grand pour le faire moi même, par contre a défaut d'une cruche, je cherche plutot une amie....

[color:89e6=darkred:89e6]Hébétée, Blanche n'entendit pas la reine l'appeler pour rentrer...

diable c'est super bien ecris et vraiment passionnant !!!
la suite la suite la suite !!!....

Oh ho ho hoooo!!!!!!

(et je comprends mieux d'où me venait ma première impression sur Sammael... )

héhéhé ^^ passionnant tout ça
La suite pour bientôt?

Darkclochette: Merci beaucoup ^^

Allana: désolée pour t'avoir induite en erreur ^^

Fandre: Merci beaucoup ^^ Pour bientôt je ne sais pas mais je vais faire du mieux que je peux ^^

Voici une petite interlude dans l'histoire de mon ange ^^ (ps: la première et la dernière image ne sont pas de moi hein, sa se voit ^^)