[le Salon des Fées] Texte : Rose page 4

Un univers, des poupées et une ambiance juste magnifiques !!!

Mirwen: merci beaucoup
Mémé : Merci beaucoup. Tu décris parfaitement la boutique d'antiquité telle que je la vois. C'est vraiment ça.
Leleig : merci beaucoup, tu me fais rougir.

Vraiment, j'accroche à ce que tu fais. Les photos sont très chouettes ^^

Moi qui passe rarement dans ce coin du forum faute de temps, j’ai tout de suite eu envie de rentrer dans ta charmante histoire que j’ai lue jusqu’au bout … en attendant la suite !
J’aime beaucoup l’univers que tu décris, agrémenté de magnifiques photos qui illustre à merveille l’ambiance qui règne dans cette petite boutique.

J'aime l'idée du couple. Ta deuxième image est très bien pensée, la composition me plaît. Et ton jeune homme est absolument charmant...

Dis, où as tu trouvé cette robe pour ta Minifee? Elle est magnifique! *.*

Minivega : Venant de toi dont j'aime beaucoup les dolls, Cela me fait vraiment plaisir !
Zabou :Merci beaucoup autant pour les dolls que l'univers en lui-même. J'avais peur qu'il ne plaise pas ou qu'il soit un peu trop compliqué d'entrer dedans à cause de la longueur des textes. Cela me fait vraiment plaisir.
Lou : Merci beaucoup. Séléne et Rand ont toujours formé un couple et je n'arrive pas à les voir autrement. Merci pour la seconde photo et sa composition, c'est une chose sur laquelle j'ai du mal souvent. POur la robe de Séléne, je l'ai fait moi-même, elle n'est pas parfaite, mais en photo, elle fait vraiment illusion.

Voici l'avant dernière habitante du Salon des Fées. Je voulais attendre sa nouvelle tenue avant de la présenter mais vu que j'ai enfin réussi à récupérer son ancienne wig en la lissant et que je l'aime tellement comme ça, j'ai avancé sa présentation. Voici Abigaël, la petite fille modèle

L'enfant

Citation :

Par rapport au reste de la boutique, le comptoir paraissait bien vide. Peu d’objet si trouvait comme si c’était le seul endroit qui n’était pas encore atteint par la collectionnite aigu de son propriétaire. Tel en havre de paix, il se situait en plein milieu de la boutique. A vrai dire, ce n’était pas vraiment un comptoir comme on en voit toujours. Il ressemblait plus à un vaisselier où il avait installé sa caisse et quelques babioles et où il exposait dans la partie supérieur la verrerie la plus précieuse qu’il avait.
A côté de sa caisse, une adorable poupée aux allures enfantines le regardait d’un air amoureux. Sa blondeur lui donnait des airs d’enfants sages et son maquillage un peu trop chargé pour une enfant lui donnait un air de peste. Quand il était là, prés de son compteur, on pouvait voir un sourire se dessinait et persistait sur les lèvres rouges de
l’enfant.

Citation :

Mais quand il partait, elle devenait une tout autre enfant. Son air rieur disparaisait pour ne laisser place qu’à de la tristesse. Elle se postait alors entre deux cadres du siècle dernier et se laissa dépérir. De temps en temps, elle faisait un ou deux pas pour se poster au bord du comptoir, le regard vide espérant le voir revenir rapidement. Elle se
sentait toujours mal lorsqu’il n’était pas là. Elle se sentait mal aussi lorsqu’il ne s’occupait pas d’elle. Ce n’était pas vraiment de la jalousie. Elle n’avait que faire qu’il s’occupe de Rand ou de Séléne, c’était juste qu’elle avait besoin de lui. Sans lui, elle se sentait
comme un des ces enfants orphelins qu’elle voyait dans ses livres d’images.

Citation :

Lorsqu’il ne revenait pas assez vite pour elle, elle se postait alors près de la cage à oiseaux à sa taille. Il lui avait promis qu’elle aurait un jour un oiseau dedans. Alors elle se mettait à espérer que ce soit pour cela qu’il n’était pas là. Elle se voyait déjà s’occupant de l’oiseau aidée par MacKenzie ou par Riddle. Elle était sure qu’elle s’en occuperait bien. Elle avait beaucoup étudié pour cela dans les livres du Salon des Fées. MacKenzie l’y avait aidé d’ailleurs car elle ne savait pas très bien lire encore. Elle aimait beaucoup MacKenzie qu’elle considérait comme sa grande soeur. La danseuse était toujours la seule à venir la consoler quand le maitre n’était pas là.

Citation :

Mais lorsqu’il revenait, il n’y avait pas d’oiseau. Abigaël restait alors triste. Elle retournait s’asseoir entre les cadres, se demandant si sa mère aurait pu ressembler à la femme dedans. Est-ce que le maître aurait pu aimé quelqu’un comme ça ? Et puis au bout d’un instant, l’enfant oublié tout cela. Le sourire revenait et elle reprenait sa place, auprès de son père, l’antiquaire.

j'aime toujours autant

Contente de la revoir, elle est toujours aussi attirante ! on ne sait pas à quoi elle pense avec ce regard si rêveur et si triste !!! avec ses longs cheveux, je n'ai qu'une envie, lui faire de grosse bouclette pour qu'elle sourie !!! c'est con, mais c'est ce qui me viens à l'esprit !

Comme c'est triste, ça donne envie de lui acheter un oiseau!Elle sera moins seule comme ça

J'aime bien l'ambiance... C'est un peu glauque, ça va bien avec le cadre^^

Un univers envoutant, sombre, mystérieux et mélancolique le tout mis en valeur par de superbes photos... Je sens sans nul ombre d'un doute que je vais suivre ton topic de près...

Décidément je suis toujours autant dingue de ce moule mélancolique, et tu as vraiment su cerner sa tristesse et toute la nostalgie qui s'en dégage... J'adore, je fonds...

Tout d'abord, une bonne année à vous !

Akaïa : Merci beaucoup à toi de suivre le début de mon histoire. Contente que cela te plaise.
Mémé : Merci beaucoup ! Abigaël reste ma petite chouchoute même si je ne la montre pas si souvent que cela. Tu cernes parfaitement la miss et son regard. Même lorsque je veux lui donner un air hautain, j'ai arrive pas, c'est toujours la tristesse qui revient. Mais finalement, c'est comme ça que je l'aime.
Mirwen : Merci beaucoup. POur l'oiseau, en fait, je suis à la recherche d'un miniature pour l'instant et si je trouve pas, elle l'aura tout de même mais en fimo surement, histoire de lui donner un petit compagnon.
Kayaplante : Merci beaucoup. Tiens, je voyais pas le côté glauque personnellement. C'est amusant de voir comment les gens ressentent ce que j'écris et ce que je prend en photo.
Siiara : Merci beaucoup. Que de compliment, tu me fais rougir . Je suis vraiment contente que cela te plaise.
Bakhtine : Merci beaucoup. Et tu sais à quel point les sugar sont des charmeuses . Je crois que c'est la seule de mes dolls avec qui j'arrive vraiment à faire ce que je veux (sauf la faire poser, mais tu connais)

Bonne année Rogue \o/
Je me suis laissée haper dans la boutique de l'antiquitaire, et j'ai eu beaucoup de mal à en sortir. J'ai toujours aimé le coté poétique de tes photos et de ton univers simplement au travers de tes clichés, mais là, la mise en texte a finie de me conquérir... C'est un univers à la fois doux et cruel, tout ce que j'aime. J'ai un pincement au coeur pour MacKenzie et Abigaël qui attendent leur maître. Moins de tristesse pour les amoureux, qui semblent se suffirent à eux-même, mais leur histoire m'intrigue beaucoup plus.

PS : J'ai la même petite cage à oiseau, et pour la remplir, j'avais acheté tout un petit paquet d'oiseaux décoratifs aimantés (ils sont jolis, avec des petites plumes et tout). Ils ont des dimensions parfaite pour cette cage et le petit aimant les fait tenir sur le perchoir... Si tu en veux un, je t'en offre de bon coeur : j'en ai trois fois trop pour moi et Abigaël est trop mignonne pour pas avoir son oiseau... Elle me rappelle combien j'avais craqué sur la sugar et la bubble

Moi je reviendrais dans cette boutique... Et même par grand soleil...

ton histoire est toujours aussi envoutante. très belle serie avec la sugar, j'aime lorsqu'on exploite le côté un peu triste de ce moule.